« Le violon du diable » de Douglas Preston et Lincoln Child

Ça faisait un bon moment que je n’avais pas lu un roman de la série des Pendergast… et je l’avais quasiment oublié pour tout dire. Alors que je cherche mon premier roman Audible dans la bibliothèque de l’appli, je tombe presque directement sur Le violon du Diable, le 5 tome de la saga ! C’est un signe : il sera mon premier livre audio !

Southampton, état de New-York, au début des années 2000. Le corps sans vie d’un critique d’art, Jeremy Grove, est retrouvé dans sa luxueuse maison. Tout cela pourrait paraître anodin, si le corps de l’homme n’avait pas été retrouvé brulé, alors que le reste de la pièce est intact et qu’elle est fermée de l’intérieur. Au sol, une empreinte de pied fourchu semble avoir marqué de parquet… et c’est sans compter l’odeur de souffre qui empeste la pièce.
Lorsqu’un second corps assassiné selon le même procédé est découvert à New-York, le doute commence à s’insinuer dans l’esprit de la population. Est-ce que le Diable est à l’œuvre dans cette histoire ?
Qui peut-être l’assassin, et surtout comment a-t-il procédé ? C’est ce que Pendergast et le sergent D’Agosta vont essayer de découvrir, dans un voyage qui les mènera de New-York jusqu’à la région de Florence en Italie, où les légendes et les superstitions prennent corps devant leurs yeux…

C’est le sergent D’Agosta de retour du Canada que nous retrouvons sur cette enquête, lui que nous avions déjà croisé sur les deux premières enquête new-yorkaise de Pendergast, Relic et Le grenier des enfers.
Pendergast est égal à lui-même : en tant qu’électron libre du FBI, il mène son enquête comme bon lui chante, enfreignant parfois les lois, mais toute en souplesse et avec le meilleur des goût.

Une suite de la saga agréable, même si ça n’est pas le meilleur opus selon moi. En revanche il donne une ouverture vers de nouvelles aventures que j’espère palpitantes, ce qui me donne très envie de lire la suite. Je pense pouvoir vous dire sans spoiler que Pendergast a un frère maléfique, qui va sûrement faire parler de lui bientôt. Chouette 🙂

Et cette première expérience de livre audio, me direz vous. C’est en échangeant avec Mickael sur le sujet que je me dit que je ratais peut-être quelque chose en n’ayant pas encore tenté d’écouter des livre, plutôt que de les lire. Les avantages sont multiples : possibilité de « lire » dans les transports en commun bondés, sur le chemin du boulot, ou encore pour s’endormir le soir, en mode « raconte moi une histoire »… Quelques inconvénient aussi forcément : il faut être concentré, ce qui n’est pas toujours facile dans la rue quand on essaye d’éviter les voitures. Du coup, la fonction de retour en arrière est bien pratique… mais impossible de scanner visuellement le livre pour retrouver le passage où on a lâché, ce qui rend la tâche parfois fastidieuse. Mais j’ai quand même bien accroché, et je vais continuer mon test avec mon nouvel abonnement Audible. Du coup j’ai le droit à un livre par mois… ce qui est suffisant avec les partenariats à côté !

A noter que cette lecture compte pour le challenge ABC, Nanet dans sa grande bonté autorise les livre audio 🙂

2 comments

  1. Mickael

    Je suis d’accord avec ton analyse. Ca a plein d’avantages mais quand tu veux revenir en arrière car tu veux revérifier un truc ou que tu te rends compte que tu avais la tête ailleurs ! pas facile 🙂

  2. Ping : « Danse de mort » de Douglas Preston et Lincoln Child |

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